Coaching de transformation
Pour un changement de vie radical, changer de destin professionnel, monter son entreprise, briser son plafond de verre et atteindre de hauts niveaux de réalisation.
Ce type de coaching n’est pas une demande qui est toujours formulée explicitement. En effet, les types de demande au cabinet concernent – à un niveau très général – principalement l’amélioration de sa situation actuelle et guérir de certains maux.
Au niveau des demandes qui parviennent aux professionnels de l’accompagnement, il existe deux grands types de coaching :
Le coaching curatif, qui est un coaching « en réaction », c’est-à-dire un coaching où le sujet doit pouvoir constater ou admettre une (ou des) situations(s) problème(s) avant de prendre contact avec un professionnel et envisager un travail.
Vs
Le coaching génératif, qui est davantage un coaching « d’anticipation ». Ce type de demande est moins courant dès lors où il traduit l’idée selon laquelle « tout va très bien dans ma vie et je voudrais que ça aille mieux encore ». En général lorsque tout va bien, on profite – à raison ! – de ce vent favorable, et en toute autonomie on développe des projets.
Faire émerger les nouveaux talents !
Si les demandes pour le premier coaching affluent de façon très naturelle – dès lors où le patient atteint un seuil d’insupportabilité de sa situation –, le coaching de transformation (ou coaching génératif) peut révéler des talents exceptionnels
Pourquoi « peut » ? Pourquoi ne pas être plus affirmatif dès lors ou il y aurait des outils efficaces ? Pour la bonne et simple raison que cette démarche nécessite pour le candidat d’avoir un très haut niveau de maturité !
Nous ne sommes pas ici dans du coaching « à l’américaine » (qui est plus axé « mentoring » et développement personnel) pas plus que nous avons la volonté de vendre du rêve. Les services d’accompagnement offrent déjà une forme de « rêve » dès lors où n’importe quelle personne qui s’engage dans un travail thérapeutique se retrouvera transformée, et pourra avancer conformément à ses aspirations.
La vie est une succession d’étapes
Nous n’allons pas lister ici les étapes d’un agenda classique qui serait de type « ontologique », cependant nous pouvons évoquer les grands concepts que sont : l’enfance (incluant le premier âge), l’adolescence, l’âge adulte, et la sagesse (terme plus positif pour décrire l’apogée de la vie).
La vie est un apprentissage permanent , il s’agit d’apprendre à se connaître en confrontant perpétuellement ses systèmes de représentation avec l’environnement, laissant émerger le concept du réel dans une forme épurée de nos illusions. Il s’agit de se construire de nouvelles réalités, plus en phase avec nos expériences, avec un regard de plus en plus lucide sur les choses.
Une lucidité qui survient à la suite d’une succession de « crises » : crise de l’adolescence, crise de la trentaine, (apparemment on serait préservé au début de l’âge adulte), crise de la quarantaine, crise de la cinquantaine, etc.
En vérité parler de crises qui surviendraient à un peu près tous les âges, c’est induire l’existence d’un ensemble de phénomènes qui apparaissent à divers moments au cours de notre existence, et conviant à des remises en questions régulières. Dans un langage jungien, nous parlerons d’intégration (de nos expériences et de nos affects), afin d’atteindre la Totalité.
Nietzsche s’inscrit dans cette idée en d’autres mots et va peut-être plus loin encore en parlant de l’Homme Nouveau, soit l’Homme Total inscrit dans son époque et à même de représenter des aspirations nouvelles pour les générations futures, et avec pour point d’ancrage : l’humain ! C’est tellement important de le rappeler pour éviter de tomber dans de nouveaux totalitarismes.
Ainsi l’Homme – à travers la Vie – est au centre de tout. Et c’est le rapport personnel de chacun à la Vie (ou au sens, ou encore au non-sens, de la vie) qui génère des personnes individualisées, avec une sensibilité personnelle, et une variété infinie de domaines d’expertise.
Suis-je prêt(e) pour ce type de coaching ?
Ce n’est pas vraiment une question d’être prêt ou pas dès lors où la base d’un travail d’accompagnement est la demande. Nous assumons l’idée selon laquelle « vouloir c’est pouvoir », et à vrai dire nous allons même plus loin en disant que dès lors où un individu accède la maturité comme un fruit atteint sa forme et sa couleur définitive (avant le processus dégénératif), pouvoir c’est avoir !
Comme il n’existe – à notre connaissance – aucun outil permettant de mesurer le niveau de maturité (un sujet potentiellement intéressant pour les jeunes chercheurs), c’est le processus lui-même qui va révéler où chacun en est dans sa vie. Nous rappelons à ce titre ce proverbe chinois : « Un voyage de 1000 km commence par un premier pas. » ou encore le fameux « Devient qui tu es », du précédemment cité, Nietzsche.
En revanche celui qui a l’intuition d’avoir un talent particulier ou « quelque chose à réaliser » doit pouvoir décider quand est ce fameux moment. Il ne s’agit pas de le décider au sens de volonté du terme mais plutôt de le « sentir ». Ensuite c’est le temps qui fait son œuvre, et celui-ci se manifeste à travers les événements de vie. Il s’agit de l’intuition de savoir « qu’on est prêt(e) ».
Les éléments déclencheurs
Il n’est pas impossible que les plus grands destins se refusent le plus souvent. Les personnes les plus talentueuses au sein de la population sont les premières à douter de leur capacité pour la bonne et simple raison qu’elles disposent d’outils objectifs leur permettant d’évaluer leur niveau d’incompétence. C’est ce qui explique pourquoi des personnes aux qualités « plus basiques » réussissent parfois mieux que les « plus grands potentiels ». Ne sachant pas évaluer leur incompétence, les premiers cités font des choses sans trop se poser de questions et éprouvent cette vérité empirique : il est impossible de s’investir dans quelque chose et de persister dans l’effort sans obtenir de grands résultats.
Nous pensons – ou plutôt nous avons envie de penser – que les grandes réussites sont inévitables. Nous n’avons pas (encore pu) isoler ce qui fait qu’une personne bourrée de talent décide de « sortir du bois », c’est la raison pour laquelle Jacques Brel (qui est autant philosophe que compositeur-interprète) disait ne pas croire au talent, définissant celui-ci comme l’envie de faire quelque chose, car en effet c’est se retrousser les manches et avancer d’un pas ferme et décidé qui est décisif.
Projeter du talent sur autrui ou penser qu’on est soi-même doté d’un talent exceptionnel, sans action concrète il ne se passe rien. Au mieux une illusion de soi (ou de ce qu’on a projeté sur un tiers)..
Le talent c’est inévitablement réaliser des choses !
Voici les éléments précurseurs à l’expression de ses talents dans une démarche de changement :
- L’impression d’avoir fait le tour (dans divers domaines de sa vie).
- L’impression de tourner en rond.
- Le sentiment d’être trop moyennement utile.
- L’envie soudaine de faire autre chose.
- L’envie de changer de vie de façon radicale… et décidée !
En réalité, les éléments précurseurs sont une amorce au changement qui est devenu inéluctable. C’est la raison pour laquelle nous avons fait le choix de mettre en avant cet accompagnement si particulier qu’est le coaching de transformation, c’est-à-dire des changements radicaux au niveau de sa vie
Si vous nourrissez de grandes ambitions, si vous avez un projet déjà décidé (« dans votre tête »), ou si vous désirez poursuivre cette voie de connaissance de soi en procédant par étapes via un travail d’introspection, en vue de vous réaliser pleinement, prenez contact.