Consultation au cabinet

Charleroi – La Louvière – Mons – Lens

Le cabinet de consultation de Charleroi si situe en plein Centre-Ville, à quelques pas du centre commercial Rive Gauche qui est le nouveau point d’entrée en ville à la sortie de la gare de Charleroi-Sud. L’accès est aisé via les transports en commun, tandis qu’il y a des facilités de parking pour stationner le temps de la séance, à proximité du cabinet. Les consultations à La Louvière, Lens et Mons ont lieu au Centre l’Odyssée.

Prendre RDV

Coaching – Psychothérapie – Hypnothérapie – EMDR

En voiture ou en transports en commun

Se rendre à Charleroi

Le cabinet se situe au Boulevard de l’Yser, en plein centre-ville de Charleroi avec toutes les facilités d’accès. La A54 (qu’on appelle « l’autoroute de Charleroi ») se rejoint à partir de la E19 en venant de Bruxelles et à partir de la E42 pour les autres villes wallonnes (Sambre et Meuse). Ou la N5 à partir du Sud. Sur la petite ceinture de Charleroi, vous prenez la sortie 22 (Charleroi Expo), et votre GPS vous confirmera que vous êtes quasiment arrivé.

En train, vous descendez à Charleroi-Sud, le cabinet est à quelques minutes à pied. En métro, vous descendez à la station Parc.

Facilités

Parking et infos pratiques

Le parking est aisé tout le long du Boulevard de l’Yser (il y a aussi le grand parking près de la mutualité socialiste), ou le long du Boulevard Audent. La consultation dure 1h30 mais peut se prolonger de quelques minutes selon la thématique et le travail effectué. Le temps d’arriver à votre aise (et de repartir à votre aise aussi), prenez un ticket de 2 heures au parcmètre.

Le cabinet se trouve à 300 mètres du centre commercial Rive Gauche. Si vous venez de plus loin, vous pourrez en profiter pour faire du shopping, ou dîner en ville avant de repartir.

Les raisons pour

Venir en consultation

Nous évoquons sur ce site une série de thèmes que nous traitons (ou avons déjà traités) au cours de nos consultations. Il est cependant fréquent qu’une personne voulant prendre RDV ne sache pas exactement pourquoi elle voudrait précisément consulter, jusqu’à potentiellement considérer sa vie comme un chantier…

Soyez rassuré(e), lorsque quelque chose n’est pas ok dans sa vie sur un plan bien précis (vie professionnelle, vie sentimentale, ou un mal-être psychologique, etc.), il arrive que plusieurs éléments soient également impactés. Le déroulement de la consultation – incluant le travail d’analyse – a pour but de mettre le doigt sur l’élément central – en rapport aux aspirations profondes de chaque sujet – et c’est la raison pour laquelle entamer une démarche en coaching ou en thérapie offrira à court terme énormément de satisfactions, jusqu’à une totale libération.

Traitement des phobies (hypnose)

Les phobies, ce sont ces « petites choses » qui compliquent la vie et avec lesquelles de trop nombreuses personnes ont appris à vivre avec. Elles ont adopté un style de vie fait de stratégies d’évitement, notamment les ascenseurs, les lieux clos, les animaux domestiques (d’autres animaux moins sympathiques tels que les rongeurs, ou encore les insectes).
Ca devient plus dommage quand on refuse d’accompagner son partenaire amoureux pour un beau voyage parce qu’on a peur de l’avion. En réalité les phobies sont parfois bien plus que des « petites choses », certaines peuvent littéralement pourrir la vie. L’hypnose est particulièrement efficace pour guérir de ces peurs irrationnelles. (Peut aussi se traiter à distance via un MP3 personnalisé à travers la séance de consultation)

Hypnose

Phobies, angoisses, gestion du stress, confiance en soi, perte de poids, apprentissage des langues,…

Qu’est-ce que l’hypnose ?

Un état modifié de conscience

L’hypnose est un état modifié de conscience qui permet à un individu de se connecter à son « soi profond » (l’inconscient) pour y puiser des ressources et dépasser ses souffrances. Il s’agit d’une expérience perçue comme agréable effectuée de façon totalement sécure, dans le respect de la personne, de son rythme, de son tempérament, et de la façon dont elle souhaite accéder à ses ressources. Les anglo-saxons parlent de méditation dirigée (guided meditation) qui est sans doute plus adéquat pour décrire l’hypnose thérapeutique.

Est-ce que ça marche chez tout le monde ?

Est-ce que tout le monde est réceptif ?

L’hypnose ericksonienne (courant humaniste) n’est pas une hypnose de type dirigiste (autoritaire). Si une personne pense ne pas être réceptive, c’est parce qu’elle aspire à conserver le contrôle sur elle-même, et l’esprit a sans doute de bonnes raisons d’avoir ce mécanisme. Pour que l’hypnose fonctionne, il faut la participation du sujet, et il lui faut pour cela une bonne raison de faire l’expérience. L’hypnose n’est pas un jeu où l’on teste sa réceptivité. Si l’individu n’a pas envie d’entrer en transe, il n’entrera tout simplement pas en transe. Il ne s’agit pas de « magie » ou d’avoir « le besoin de croire » pour que ça fonctionne. En revanche, un individu ayant envie d’essayer pour de bonnes raisons mais qui craint de « perdre du contrôle », qu’il se rassure : le cadre proposé lui laisse la totale liberté du degré de transe qu’il a besoin d’atteindre pour aller chercher ce qu’il a besoin d’aller chercher au fond de lui-même (et à travers ses processus inconscients).

Changer de vie ?

Il y a ces moments particuliers qui surviennent au cours d’une vie, parfois proche de la crise existentielle. Ces moments où l’on constate avec effroi qu’on n’a pas la vie qu’on aurait souhaité vivre, ou pire encore, avoir la vie qu’on a souhaité vivre… et qui ne nous convient pas au final !

Il serait beaucoup trop simpliste de tout mettre sur le dos de la société occidentale, où on serait « trop bien », et où les gens à l’assiette bien remplie n’auraient pas le droit de se plaindre. Certes, il faut toujours relativiser, cependant d’un point de vue clinique, une souffrance est une souffrance. Et l’individu qui la porte doit être respecté dans ce qui le fait souffrir. Car en réalité, on ne souffre pas d’un supposé confort, mais de quelque chose de plus profond qui mérite que l’on s’y attarde, pour éventuellement changer de vie et aller vers ses aspirations les plus intimes.

Coaching de transformation

Réorientation professionnelle, grandes décisions, changement de vie radical, réalisation de ses rêves les plus fous.

L’heure des grandes décisions

Vers un changement de vie radical ?

Il n’y a sans doute rien plus terrible que d’avoir l’impression de se fourvoyer, de tourner en rond, ou pire encore, de passer totalement à côté de sa vie. La différence entre l’angoisse et le stress est que ce dernier est généralement identifié, il est lié à une situation spécifique, à une échéance à venir, alors que la source de l’angoisse échappe souvent à la conscience. Il s’agit d’un matériau refoulé pour la bonne et simple raison que l’amener à la conscience va générer des sensations insupportables mêlant impuissance et frustrations. Mais il arrive un jour que ce matériau finisse par émerger (cela arrive souvent après un burn out qui est une façon pour le corps de dire qu’il ne veut plus, que les sacrifices effectués sont beaucoup trop coûteux), générant une « pulsion au changement ». Il s’agit d’un grand moment de rencontre avec soi-même pouvant ouvrir la voie à un destin potentiellement fabuleux.

Quid de la fatalité ?

Les contraintes du changement

Il y a tout un tas de bonnes raisons pour ne pas oser même penser à un changement radical. Les raisons sont tout d’abord d’ordre écologique, notamment au regard de ses engagements et des personnes impliquées dans sa vie. Car envisager un changement de vie radical ne signifie pas « bousiller des vies » et faire payer le prix de ses aspirations individuelles aux autres, autrement c’est faire l’apologie de l’égoïsme. Cela ne veut pas dire qu’il faille s’oublier soi-même. Dès lors où nait ce profond désir de changement à 180°, il faut mettre en place une stratégie, être méthodique, et surtout patient ! Aucun grand projet ne s’est planifié en trois jours et quatre mouvements. Il s’agit de mettre en place de petites choses en vue d’être prêt pour le jour où ça sera son tour. Car il n’existe absolument aucun projet, minutieusement préparé, qui n’a pu voir le jour. Le jour où l’on réalise que ce projet c’est sa vie, alors peut-être qu’on est prêt à un grand chamboulement, si c’est vraiment ce que l’on désire.

L’expérience amoureuse

S’il y a un thème qui est une synthèse du bien-être et de la psychologie, c’est bien l’amour, ou plutôt l’expérience amoureuse !

L’amour est sans doute l’expérience la plus puissante que l’on puisse expérimenter au cours de cette vie, c’est la raison pour laquelle, il ne laisse personne indifférent. La relation amoureuse nous implique dans l’expérience de l’altérité, à savoir des individus singuliers qui se rencontrent et qui vont être amenés à partager des choses. Il s’agit de la capacité à se projeter, de vouloir préserver l’autre, tout en se préservant soi-même. De ces expériences, il nous reste des joies, des peines, des blessures,… mais aussi d’immenses bonheurs. C’est parce que nous avons conscience des enjeux de la relation que nous proposons un accompagnement rigoureux pour se remettre d’éventuelles déceptions, faire le plein de confiance en soi, et oser aller vers l’autre.

Love coaching

Vivez de belles histoires, renforcez l’amour au sein de votre couple, gérez les périodes de solitude, soyez prêt(e)s à faire des rencontres épanouissantes.

La grande question philosophique

C‘est quoi l’amour ?

Il y a sans doute autant définitions de l’amour qu’il n’y a de regards sur l’amour. Il y a des définitions cyniques (prétendues réalistes), des définitions utopiques (souvent de nature poétique) et d’autres encore plus philosophiques (épistémologie de l’amour). Nous ne prendrons pas le risque de privilégier une définition ou un point de vue, mais nous parlerons d’une disponibilité. Il s’agit d’avoir cette capacité à donner, et aussi à recevoir. Il s’agit de prendre soin (de l’autre, mais aussi de soi-même) dans une alchimie qui fonctionne quand deux êtres qui ont envie de vivre une histoire font le choix de s’engager et de partager une expérience ensemble. L’attitude bienveillante et la loyauté étant sans doute ce qui caractérise ce sentiment partagé.

Pourquoi autant de souffrance ?

Est-ce que l’amour est se faire du mal ?

Ce n’est sans doute pas l’amour qui fait souffrir, mais plutôt la vie, les aléas, et les circonstances. Il y a sans doute un rapport entre l’amour et la haine en ce sens qu’il y a du plaisir et des attentes. L’autre est (au moins en partie) responsable de son bonheur, comme on est soi-même un élément du bonheur de l’autre. Il n’y a malheureusement pas de formules magiques pour garantir un bonheur conjugal si ce n’est une liste théorique des bons comportements à avoir (ou à  adopter). La vérité est que la relation amoureuse concerne à chaque fois deux individus singuliers, qui ont chacun leur propre histoire, qui ont des attentes spécifiques, et puis surtout qui vivent des choses au quotidien ensemble. L’amour est cette expérience intense qui nous apprend des choses sur nous-mêmes plus que n’importe quoi d’autre dans la vie. Le tout est de dépasser –  comme pour toutes les autres choses de la vie en fait – les moments difficiles et savourer les moments de joie.